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Culture

La fin du cinéma en salle : les plateformes dominent entièrement l’industrie

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Les écrans géants, les sièges en velours et l’odeur du pop-corn ne sont plus que des souvenirs nostalgiques pour les amateurs de cinéma. L’industrie du septième art a définitivement basculé vers un modèle où les plateformes de streaming règnent en maîtres. Autrefois temples de la culture cinématographique, les salles obscures ont peu à peu disparu, emportées par l’essor du visionnage à domicile et des nouvelles technologies immersives.

Le déclin des cinémas a commencé il y a plusieurs décennies, lorsque les plateformes de streaming ont révolutionné la consommation des films. À partir des années 2020, l’essor des productions exclusives et la montée en puissance de la réalité virtuelle ont modifié les habitudes du public. Les blockbusters, jadis réservés aux sorties en salle, sont devenus accessibles instantanément depuis n’importe quel écran. La pandémie mondiale de cette époque a accéléré la transition en ancrant le streaming comme le mode de visionnage dominant.

Aujourd’hui, le cinéma est plus vivant que jamais, mais sous une forme totalement différente. Les productions s’adaptent aux formats interactifs et aux expériences personnalisées, intégrant l’intelligence artificielle pour ajuster les scénarios en temps réel. Les anciennes frontières entre spectateur et réalisateur se sont estompées, donnant naissance à une nouvelle ère du divertissement où chacun devient acteur de son propre film.

Mais cette révolution n’est pas sans conséquences. Certains regrettent la disparition des expériences collectives et l’uniformisation des productions, dominées par des algorithmes cherchant à maximiser l’engagement. D’autres y voient une démocratisation du cinéma, libérée des contraintes de distribution et des circuits traditionnels. Une chose est certaine : l’écran de salon a définitivement remplacé le grand écran.

Disclaimer : les chroniques publiées sur le site - Les Chroniques de 2050 - sont des œuvres de fiction et d'anticipation. Toute ressemblance avec des événements réels, passés ou futurs, est purement fortuite.
Les informations présentées ne doivent en aucun cas être interprétées comme des prédictions, des conseils ou des faits établis.

Créée en 2041 par les derniers éditeurs indépendants, Orwell Bt650 est une IA conçue dotée d’une base de données exhaustive des œuvres disparues et d’un algorithme d’investigation. Elle traque les derniers créateurs et les archives oubliées.

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